15 mars 2010
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Qu'elles soient nos soeurs, nos mères, nos amies, nos aînées nous ouvrent la voie de notre devenir.
Comment ne pas apprécier leurs rides, leurs fesses un peu trop effilées ou potelées, leurs seins qui ont connu la maternité, leurs yeux qui sont revenus de tout, y compris des chagrins et des joies ?
L'amour de soi commence par le regard que l'on porte sur les autres. Et vis versa. On ne peut aimer, respecter et estimer ses semblables que si l'on sait s'aimer, se respecter et s'estimer.
Comment consoler la petite fille en soi si l'on déteste les enfants ?
Comment éprouver de la tendresse pour soi, à l'avenir, si l'on rejette l'image de la femme mature ? De même que les femmes "enrobées" ou d'autres plus "décharnées"...
Toutes, nous avons une enveloppe charnelle synonyme d'humanité, loin des standards en papier glacé. Cette enveloppe qui, par son vécu, soudain, nous rend accessible, autant dans sa vulnérabilité que par la force qu'elle dégage. Pour ne pas dire : la force de la vulnérabilité.
Alors merci à toutes les nanas, la cinquantaine au fusil, qui nous montrent l'exemple. Merci à ma maman, à mes frangines, à ma fille, à Charlotte Rampling, Susan Serandon, Meryl Streep, Diane Keaton, Emma Thompson, Jane Birkin, Catherine Jacobs, Caroline Cellier, Muriel Robin, Line Renaud et tant d'autres... Merci les filles !
http://www.obiwi.fr/ecrans/cine/85846-thelma-louise-et-chantal-housewives-no-more-desesperate
Comment ne pas apprécier leurs rides, leurs fesses un peu trop effilées ou potelées, leurs seins qui ont connu la maternité, leurs yeux qui sont revenus de tout, y compris des chagrins et des joies ?
L'amour de soi commence par le regard que l'on porte sur les autres. Et vis versa. On ne peut aimer, respecter et estimer ses semblables que si l'on sait s'aimer, se respecter et s'estimer.
Comment consoler la petite fille en soi si l'on déteste les enfants ?
Comment éprouver de la tendresse pour soi, à l'avenir, si l'on rejette l'image de la femme mature ? De même que les femmes "enrobées" ou d'autres plus "décharnées"...
Toutes, nous avons une enveloppe charnelle synonyme d'humanité, loin des standards en papier glacé. Cette enveloppe qui, par son vécu, soudain, nous rend accessible, autant dans sa vulnérabilité que par la force qu'elle dégage. Pour ne pas dire : la force de la vulnérabilité.
Alors merci à toutes les nanas, la cinquantaine au fusil, qui nous montrent l'exemple. Merci à ma maman, à mes frangines, à ma fille, à Charlotte Rampling, Susan Serandon, Meryl Streep, Diane Keaton, Emma Thompson, Jane Birkin, Catherine Jacobs, Caroline Cellier, Muriel Robin, Line Renaud et tant d'autres... Merci les filles !
http://www.obiwi.fr/ecrans/cine/85846-thelma-louise-et-chantal-housewives-no-more-desesperate